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Sicié "nostro coualo"

Dans un style où l’accent du terroir vient parfumer les mots, la colline de Sicié sort progressivement de l’ombre. Depuis la déferlante salée dont le goût d’iode imprègne les rochers jusqu’au chant des cigales qui rythment l’exhalaison des parfums de la garrigue, tout contribue à concéder à ce lieu un brin de mysticisme. De la brume de chaleur qui camoufle les choses jusqu’à la rosée mutine ou à la mer alanguie se fondant dans le sable, la nature continue de gérer son patrimoine. Les histoires s’y forgent au soleil de la vie,comme pour magnifier le paysage ; quelles soient contes, légendes ou simplement histoires de tous les jours, elles apportent à leur manière une image nouvelle de ce promontoire cithariste. Bien avant l’édification de la Bonne Mère, la vie des hommes avait déjà posé son empreinte sur cet espace. Depuis, Sicié évolue au rythme de la foule qui l’encercle et l’utilise.

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Les petites histoires de Sicié

Et patati, et patata ! En mettant l’accent sur l’archipel des Embiez où souvent l’histoire avec un grand H côtoie et s’entrelace avec le quotidien et la galéjade, ce volume vous entraînera vers des faces cachées de notre péninsule.

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Pointus, un art de vivre

Un beau livre sur les pointus de Méditerranée.

L’une photographie et l’autre écrit. Elles se sont rencontrées sous la lumière du midi dont elles sont toutes deux originaires autour d’une barque de légende: le pointu !

Toulonnais, Varois, Méditerranéens ou exilés de la grande bleue, que vous soyez, un peu, beaucoup, passionnément marins, « fades » de pointus, de voiles latines, ardents défenseurs du patrimoine, amateurs de culture, de photographie d’art, de poésie ou que vous souhaitiez simplement vous poser un instant et regarder la mer, ce livre est pour vous !

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Les Maux des Mots

Il s'agit d'une époque ou nous mangions encore des fruits et des légumes cultivés sur la commune, venant sur le marché avec un charreton tiré par un âne.Lorsque nous croquions dans une tomate,c'était parce que nous étions en été et c'était un peu du labeur de nos paysans qui distillait notre bien-être.

Des loups ou des daurades occupaient rarement nos assiettes, mais le moindre crabe était encore en mesure de nous raconter son rocher ou sa calanque.

Dans les rues de notre ville circulait encore le torpilleur.Les manfators occupaient dès le matin le bout du quai HOCHE

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Sicié au-delà du miroir

Plongeur autonome depuis les années 50, j'ai pensé qu'il vous serait agréable de connaître cette face cachée de Sicié...

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